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il y a 6 ans
Tu viens nue sous ton manteau
J’avoue que depuis quelques temps je m’intéresse beaucoup aux témoignages dans les clubs libertins car je ne connais absolument pas ce monde-là car cela fait plusieurs fois que Paul me propose de m’y emmener. J’avoue avoir un peu peur et puis je ne me sens pas prête. Du moins, je trouve ça honteusement excitant de m’offrir à plusieurs hommes à la fois ( si vous vous souvenez de mon dernier récit) mais c’est le fait que Paul m’ait ouvertement dit qu’il en profiterait lui aussi, qui me gêne. Je ne veux pas le partager avec d’autres femmes et la simple idée de l’imaginer dans d’autres bras me rend folle de jalousie.
Pourtant à demi-mot, j’ai bien compris que je ne devais pas être la seule femme dans sa vie mais je ne veux rien savoir, et surtout pas voir. C’est à cause de cela que, ses derniers temps, nous nous voyons un peu moins. Car il insiste de plus en plus pour que nous allions en club et je reste sur ma position. Du coup, c’est source de conflit et je le sens plus distant, à mon grand désarroi.
Le problème c’est que je suis accro à cet homme, à son charisme, à cet aura sexuel qu’il dégage, il m’attire comme un aimant. Il sait me rendre folle de désir et j’ai l’impression parfois d’être une petite fille, malgré mes 37 ans, qu’il peut prendre et jeter à sa guise. Et le pire c’est que j’aime cette façon qu’il a de m’utiliser pour son plaisir et le mien aussi. J’aime être soumise, être sa chose docile prête à assouvir le moindre de ses fantasmes. Cela me met dans un état d’excitation indescriptible. Je pense en fait que Paul a su détecter de suite sur le net cette part de soumission en moi et lui qui est très dominateur y trouve son avantage.
On devait se voir mardi dernier et le lundi au téléphone, après s’être un peu chamaillés toujours à propos des clubs libertins, il m’a demandé de venir chez lui, complètement nue sous mon manteau. Sur le coup je n’ai pas su quoi répondre et devant l’énormité de la chose j’ai tout d’abord refusé. Plein de choses me sont passées par la tête et notamment si je me faisais contrôler par la police ou même si j’avais un accident. Non c’était impensable ! Mais il m’a dit très clairement que si je ne le faisais pas, ce n’était pas la peine que je vienne.
J’ai cogité toute la nuit, vous le pensez bien, déchirée entre faire ce qu’il me demandait ou ne pas le voir. Mais ne pas le voir c'est pire! Je suis dingue de lui, et finalement à 17h, je me suis présentée devant sa porte, nue sous mon manteau. Je n’en menais vraiment pas large et j’ai eu la trouille au ventre durant tout le trajet mais je l’ai fait. Et il ne me tardait qu’une chose, qu’il ouvre la porte. J’avais pris le plus long manteau et le plus épais que j’avais. Un long manteau noir avec de la fausse fourrure sur le col et aux poignets. Dans la voiture il faisait bon mais dehors il faisait un froid glacial. Perchée sur mes escarpins, le froid s’engouffrait sous mon manteau et ce n’était pas des plus agréables. Pourtant j’étais aussi toute excitée de ce qu’il me faisait faire et j’en arrive à me dire que je suis prête à n’importe quoi pour lui, lui faire plaisir me fait vibrer de plaisir.
J’ai sonné, il a ouvert. Même pas un bonjour, même pas un bisou.
« - Tu es nue ? « m’a t’il demandé très autoritaire.
« - Oui ! »
Il s’est effacé pour me faire entrer. Il était en peignoir et dès que la porte a été refermée, il l’a enlevé offrant à ma vue son corps nu que j'aime tellement toucher. Nous sommes allés dans son séjour, lui très à l’aise dans sa nudité et moi qui me réchauffais à peine.
« - Enlève ton manteau que je t’admire. »
Il s’est assis dans son fauteuil préféré et il m’a regardé ôter le manteau. J’étais debout au milieu du salon, nue comme un ver. J’avais des frissons qui me parcourraient tout le corps. Son regard glacial scrutait chaque portion de peau, chacune de mes courbes. Son regard sur moi, c’est de l’électricité qui envahit ma vulve à chaque fois.
« - Tourne-moi le dos et penche toi en avant que je vois ce que tu as entre les cuisses. Allez, fais pas ta timide, je te connais sous tous les angles ! Montre-moi ton trou du cul et ta chatte. »
Je me suis exécutée en écoutant cette voix tellement dominatrice. Mon petit minou était déjà bien humide, malgré moi.
« - Allez, écarte-moi bien ces fesses que je vois ta jolie rondelle ! »
La position était obscène mais je sentais son regard approbateur qui me matait avec appétit. Il m’a laissé 5 bonnes minutes comme ça mais je voyais du coin de l’œil qu’il avait commencé à se masturber doucement, en me détaillant très lentement sous toutes les coutures. Je m’excitais toute seule de le sentir se branler en me mangeant du regard. Rapidement je n’ai eu qu’une envie, prendre sa bite dans ma bouche et la sucer goulument mais je ne savais pas si je devais bouger. Au bout d’une éternité il m’a dit d’un ton radouci :
« - C’est bon tu es gentille fille, approche, je vais te récompenser ! »
Toute troublée mais ne sachant pas à quoi m’attendre, je me suis avancée docilement vers lui. Debout devant lui, Il a empoignée mes fesses et à commencer à humer mon petit minou. Il s’imprégnait de l’odeur de ma chatte.
« - Humm j’aime l’odeur de ta chatte en chaleur ! Tu pues la chienne en chaleur !»
Il redevenait humiliant mais mon dieu qu’est-ce que ça me faisait mouiller ! Puis il a collé sa bouche dans ma vulve. Sa langue insidieuse, son nez fouineur exploraient tous les recoins de mon minou brûlant de désir. Il me léchait, me mordillait le clitoris, enfonçait sa langue dans mes chairs trempées. C’était divin. Je gémissais comme une chienne en chaleur. Sa bite, bien raide était un appel à la fellation, elle me narguait. Je savais que si je ne faisais pas ce qu’il voulait, il risquait de me punir mais j’avais vraiment trop envie de sentir sa queue dans ma bouche. La sentir grossir pour mon plus grand plaisir. Alors, dans un élan de désir irrépressible j’ai voulu m’accroupir pour le sucer mais il m’a retenu brutalement dans mon mouvement en me tirant les cheveux.
« - Je ne t’ai pas dit que tu pouvais me sucer, t'es une vorace! Je vais te dresser moi !»
Sa main s’est abattue sur mon postérieur. La fessée a claqué comme un fouet.
« -Aie, tu m’as fait mal !
- Je m’en fous de te faire mal, tu n’as qu’à écouter et obéir. Et en plus tu aimes ça , avoir mal, petite pute ! Pour la peine, mets-toi à quatre pattes, tout de suite ! »
Des frissons se sont propagés sur tout mon corps. Ma tension sexuelle était à son comble. J’ai obéis docilement, les fesses en feu. Il n’y était pas allé de main m o r t e mais j’étais déjà en transe et je mouillais abondamment. Vous n’allez peut-être pas trouver ça normal mais j’aime quand cet homme m’humilie. Je m’abandonne à lui et à son bon vouloir complètement ! C’est terrifiant et pourtant tellement jouissif.
Je l’ai alors vu prendre un collier en cuir noir avec des petits clous dorés sur le guéridon.
Et sans que je n’aie vraiment le temps de comprendre, il me l’a attaché autour du cou. Une laisse, en cuir noir elle aussi, y était reliée. La punition était donc calculée, il voulait en venir à ça dès le départ.
« -Allez, tu vas être une bonne petite chienne, sale vicieuse. Fais la fête à ton maître ! »
Je me suis dit « ça veut dire quoi, faire la fête à son maître » ? Maladroitement je me suis mise à gémir timidement et à onduler des fesses comme une petite chienne qui frétille devant son maître. Cela peut paraître ridicule mais il n’y a que ça qui m’est venu à l’esprit. Mais il a tiré sur la laisse si v i o l emment que j’en ai eu les larmes aux yeux. Mais la douleur a provoqué des décharges électriques dans mon bas ventre. Il sait vicieusement me faire mal avec subtilité. Je ne comprenais toujours pas ce qu'il voulait.
« - Mais comment ?
- Faut tout te dire, espèce de petite pute ! Lèche-moi les pieds ! »
Je suis restée abasourdie mais une bonne paire de claque sur les fesses a eu vite fait de me remettre les idées en place. J’ai abdiqué sans demander mon reste, toute tremblante de peur et de désir.
Alors, avec soumission, j’ai commencé à lui lécher les pieds. C’était tout nouveau pour moi. Tout timidement puis de façon plus appuyée du plat de la langue. Paul émettait des râles rauques de satisfaction et j'osais davantage lui lécher les pieds avec ardeur. Il avait repris sa masturbation. Et je me rendais compte que je prenais du plaisir à faire ça. Il n’y a pas plus humiliant comme situation mais j’étais au bord de l’orgasme sans qu’il m’ait à peine touché. Il grognait de plaisir sous mes coups de langue, c’était trop bon de l’entendre gémir ! J’alternais les baisers et les léchouilles avides maintenant. Ma langue glissait entre ses orteils, puis je lui suçais les doigts de pieds comme s’il s’agissait de petites queues miniatures. Il écartait ses doigts de pied pour que je salive bien sur chaque parcelle de peau. J’ai relevé ses pieds et j’ai léché, embrassé la voute plantaire pour finalement repasser ma langue entre ses orteils. Des sensations troublantes et torrides m’envahissaient. J’étais à ses pieds, au sens le plus strict du terme. J’étais vraiment concentrée sur son plaisir mais soudain il a tiré à nouveau sur la laisse en me faisant mal.
« - Remonte un peu maintenant! Voilà c’est mieux. Tu es une gentille petite chienne. Voilà remonte encore tout doucement. Ne t’arrête pas de me lécher. Il avait tendu la laisse au maximum pour que je sente sa pression sur mon cou et que je ne sois pas totalement libre de mes mouvements J’avais un peu mal mais c’était tellement bon de se sentir dominer.
Petit à petit, il m’a fait remonter sur ses testicules et je les ai gobées, léchées avec voracité. J’attendais tellement de pouvoir le sucer. Il mettait enfin un terme à mon supplice.
« - Hum oui, là tu peux, c’est ta récompense ! Avale ma grosse queue. Suce-moi en bonne petite chienne. Tu aimes ça hein, me bouffer la bite ?
J’ai acquiescé, la bouche pleine. Mon dieu que c’était bon d’être à sa merci.
Puis au bout d’un moment il a nouveau tiré sur la laisse. J’ai essayé de résister car je voulais encore le sucer comme un petit chien qui ne veut pas lâcher son os mais le collier m’étranglait.
« - Espèce de petite chienne vorace, tu as assez joué avec ma bite. »
Alors il s’est relevé et s’est agenouillé derrière moi, toujours en me tenant en laisse.
« - C’est bien, tu es une gentille petite chienne! Ne bouge pas et laisse toi faire ! Je vais te bourrer le cul maintenant et pas de cris si je te fais mal. Je ne veux pas t’entendre aboyer, sinon je tire sur la laisse ! A nouveau mélange de peur d’avoir mal et excitation suprême. Cet homme me rend folle !
Il est quand même entré progressivement au début dans mon petit cul mais subitement il m’a défoncé d’un grand coup de queue. La douleur dans mon antre assiégée s’est mêlée au plaisir de façon intense. J’ai ravalé mes gémissements de douleur et en bonne petite chienne, je l’ai laissé me sodomiser comme il le voulait. J’avais mal mais la douleur progressivement s’est estompée alors qu’il me démontait le cul comme une brute. Mes seins bougeaient dans tous les sens. De temps en temps il tirait sur la laisse pour bien me montrer qui était le maître. Il m’en étranglait presque.
A quatre pattes, reléguée au rang d’animal, il me défonçait le cul v i o l emment. Ses coups de marteau piqueur étaient tellement puissants qu’à plusieurs reprises, j’ai failli m’affaler sur le tapis, mes bras ayant du mal à supporter la v i o l ence des secousses qu’il m’infligeait. Il me déchirait l’anus à chaque passage mais qu’importe, j’étais au bord de la jouissance. Je couinais, je geignais comme une bonne petite salope. Je me suis mis deux doigts dans la chatte, bien au fond et après quelques assauts répétés, l’orgasme a été fulgurant. Paul m’a défoncé le cul encore un peu et il a joui en me traitant de pute.
Je suis sa chose, son sextoy, sa petite chienne vicieuse prête à assouvir tous ses fantasmes et je ne pourrais plus faire sans.
Je comprends vraiment ce que peuvent ressentir les adeptes du SM et j’ai totalement changé d’avis en faisant la connaissance de Paul. Je prends un plaisir extrême dans ce mode de sexualité qui était aux antipodes de moi, du moins je le croyais. Paul manie la domination, la douleur et le plaisir dans les règles d’art. Il sait me t o r t u r e r comme un dieu et j’aime ça !
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